Terre Mère

• La Terre
• Notre Mère
• A Tous
• Qui que nous soyons
• D’où que nous venions
• Où que nous allions

Dans ses bras l’humanité a pris naissance (Le réveil)

De ses entrailles éclot la vie (L’éclosion)

Ses éléments fougueux nous rappellent que nous sommes tout petits (Intempérie)

• Hommage à la Terre
• Hommage à la Mère

J’ai voulu un album réunificateur, rencontres des hommes de différentes cultures, de différents courants avec comme élément liant les rythmes d’une toute petite île, tellement riche !

Le triangle : Guadeloupe, France, Canada

Jocelyn Ménard – décembre 2012

Musique

Intempérie by Jocelyn Ménard Zouk Mania by Jocelyn Ménard

Invités

Steve Browman (pno) élevé avec brio à l’école américaine du jazz, prête son jeu à Sister’s. Ami de longue date, le canadien Rémi Bolduc (as) apporte sa voix à Terre Mère, sur un bel échange avec Jocelyn sur le très dansant Annou Alé. Après une interprétation inattendue à l’électroacoustique sur l’Éclosion, Philippe d’Huy (g) revient avec sa guitare électrique sur Sister’s. Un New Blues ne pouvait se concevoir sans la contrebasse de Max Fontes. Le percussionniste Fred Desplans fait retentir les peaux de Guadeloupe sur Annou Alé et Zouk Mania, tandis que Malika Tirolien (chant), Gilbert Laumord (voix) et Esther Myrtille (voix) apportent mélodie et dialogues au même Annou Alé.

Musiciens

Paris

Depuis longtemps, Jocelyn Ménard se dit avant tout gwanadien… Saxophoniste canadien installé en Guadeloupe depuis vingt ans, Jocelyn Ménard revendique ce métissage qui raconte finalement sa propre vie. Après une première ébauche il y a dix ans, le projet Gwanada débouche aujourd’hui sur un album tout en groove chaleureux, Terre Mère. Sur des compositions originales où rythmiques et harmonies caribéennes se mêlent au bop et au blues d’Amérique, Jocelyn Ménard s’entoure de fidèles et talentueux compagnons. En Guadeloupe, Jocelyn a appelé Raymond Grégo, batteur d’expérience qui nous emmène dans les méandres les plus reculés – et les plus savoureux – du groove caribéen. A la basse, Raymond d’Huy assied et lie brillamment la diversité du répertoire du groupe, de la biguine au lewoz en passant par le blues. Aux côtés de Jocelyn Ménard, on retrouve aux claviers Dominique Bérose, pianiste à l’énergie rare, capable d’apporter des teintes aussi bien jazz-rock que latines. A Paris, Jocelyn est allé chercher les musiciens antillais qui s’y sont expatriés : Sonny Troupé (batterie) et Olivier Juste (percussions), qui sont de toutes les aventures fusionnelles d’aujourd’hui ; Grégory Privat, jeune pianiste en pleine ascension ; augmentés du bassiste mauricien Gino Chantoiseau, dans la lignée des grands bassistes produits par l’île, Linley Marthe, Clive Govinden…